{La musique unie les coeurs} Zwilling*

Plusieurs jours s'étaient écoulés après cette rencontre avec ce garçon étrange, William. Il avait monopoliser toutes les pensées du blond, ce qui l'énervait considérablement. Pourquoi pensait-il a cet idiot qui s'énervait tout le temps et qui doublait les sentiments du guitariste? Il avait mené son enquête durant ces 78heures. Son statut de petite starlette, comme disait les jaloux, lui avait permis d'avoir accès aux dossiers des étudiants car il avait menti en disant qu'il avait trouvé un musicien pour faire un duo mais qu'il avait besoin de voir si tout était réglo chez ce type. Il avait été frappé par les coïncidences qui les rapprochait. Outre le fait qu'ils aiment tout deux la musique, Thomas avait découvert que William était aussi un Allemand et qu'il était né le même jour que lui. De plus, il lui ressemblait. Ca faisait beaucoup de liens tout ça... Ça le perturbait énormément et a un moment donné il s'était même bêtement mit a pensé qu'il faisait parti de la même famille... bêtement, mais ça restait une possibilité pour le jeune homme, car depuis qu'il avait laisser ce message a ce parent pour leur demandé s'il avait un frère, il n'arrivait plus a les joindre.
Ce fut donc l'esprit occupé et presque parano qu'il parti a son cours a l'université. Il s'installa a sa table comme tout les autres étudiants, et écouta que d'une oreille le professeur.

Bien, on va passer a la pratique. J'aurais besoin d'un chanteur et d'un guitariste... il me semble qu'on en a un excellent dans la classe, Monsieur Wünhallen vous voulez bien...?

Thomas releva la tête alors qu'il était en train de griffonner partout sur sa partition ' William'. Il se leva et retourna cette feuille puis prit l'instrument que lui tendait le professeur et s'assit sur le tabouret. Ce fut a ce moment qu'il aperçu dans la classe ce garçon. Il baissa les yeux regardant la courbure de la guitare qu'il tenait.

Alors qui veut bien venir chanter... il prit les fiches des étudiants et dit après avoir consulté les spécialités de ceux ci: pourquoi pas Monsieur Daven ! venez s'il vous plait.

Le visage du dreadeux se baissa et son front cogna a plusieurs reprise dans de petit coup sur l'instrument.

Quelques jours aprés sa dispute si on peut appeler çà comme cela avec le jeune dreadé. Thomas n'avait toujours pas quitté l'esprit de Will', il l'obsédait malgré tout, l'empêchait même de dormir. Durant une des nuits ayant suivis la dispute, Will avait fait un rêve étrange, le représentant lui et Thomas comme des frères, des jumeaux, avec ses parents décèdes, ce matin la Will s'était réveillé en pleurant, il ne comprenait pas pourquoi ses images lui venaient en tête alors qu'ils n'avaient aucun point commun a part peut être leur passion pour leur musique et leur physique si ressemblant.. se jour la Will' c'était jeter sur son miroir et avait détaillé son visage non maquillé en se rappelant celui de Thomas qui etait pratiquement similaire.. Dans la même journée, la personne que William avait voulu évité en se cachant dans la Cadillac de Thomas, l'avait malheureusement aperçu et avait reçu un e-mail de sa part, dont l'intitulé était ' Depuis quand monsieur Styler traine avec les Starlettes ' , William ne comprenant pas il avait ouvert innocemment l'e-mail, decouvrant un lien l'amenant a sur une vidéo de Thomas et son ancien groupe.. Will' était surpris de ce qu'il venait d'apprendre, très surpris, il était loin d'imaginer le jeune blond dans ce monde. Il tomba de haut en regardant d'autres vidéo, beaucoup de questions lui tournait encore plus en tete.
Le lendemain il retourna en cours normalement, il n'était pas maquillé excepté un coup de poudre et coiffé d'une simple queue de cheval, débarqua en cours de musique très mal réveillé. Il écoutait a peine son professeur, et regardait Thomas du coin de l'œil discrètement. Quand le professeur le désigna pour jouer, Will posa sa tête sur la table dans ses bras ne voulant pas faire face au dreadé. Il releva violemment la tête a l'entente de son nom, et compris qu'il devait aller chanter. Il mordilla sa lèvre inférieure, ne trouvant aucune excuse potable. Il se leva et rejoigna Thomas, tête baissée, ne sachant même pas ce qu'il devait interpreté.

Lorsque Will vint le rejoindre devant toute la classe, le professeur les regarda en souriant, attendant sympathiquement que les deux jeunes hommes se décide a jouer.

Allez n'ayez pas peur ! Surtout vous thomas.
« je n'ai pas peur... »

Non, il n'avait pas peur de jouer devant une classe d'étudiant, en revanche ce qui l'effrayait était le visage qu'il ne lâchait plus de yeux. Ce mec lui ressemblait vraiment, il fallait être aveugle pour ne pas le remarquer. Toute ces similitudes commençait vraiment a inquiéter le jeune homme, cherchant tant bien que mal comment tout ça serait possible avec des explications logique. Qu'ils soient nés le même jour, il l'acceptait, il y avait probablement des tas de gens né le 1 septembre 89 en Allemagne, mais que ceux-ci vienne de la même ville devenait déjà plus complexe. Soit, admettons. Mais que ces deux se ressemblent était carrément flippant. Le prof leur avait poser des partitions, Tom devait commencer a jouer pour donner le ton a son acolyte. Il gratta les cordes de la guitare de très mauvais goût, et la réaccorda d'oreille, trouvant qu'elle sonnait faux. Il reprit la mélodie et jeta un coup d'œil aux paroles. Pour avoir fait un peu de français lorsqu'il jouait dans ce pays, le dreadeux compris très bien les première paroles : '' Toi le frère que je n'ai jamais eu Sais-tu si tu avais vécu Ce que nous aurions fait ensemble'' . Il arrêta de jouer et le prof s'étonna :

Je sais que ce n'est pas vraiment de votre époque mais il y a des chose très intéressante a voir, continuez s'il vous plait.
« Je.. n-non désolé, excusez moi... » dit-il en se levant, sortant de la classe sans même prendre ses affaires.

Il avança jusqu'au bout du couloir. Était-ce une mauvaise blague? Pourquoi la chanson qu'il devait travaillé c'était ça! Ce type, là... se pouvait-il que..? Non non non, il était fils unique, il avait avait déjà vu des photos de lui enfants, il avait toujours été seul, pas de garçon lui ressemblant , personne, lui, lui, et lui avec ce picotement au cœur inexplicable lorsqu'il voyait des frères ou des sœurs rires, comme si... Il s'adossa au mur en prenant sa tête entre ses mains et les joignit au dessus de celle ci. Il laissa retomber ses bras par la suite et prit son téléphone, essayant encore d'appeler ses parents sur leur portable respectif, en vain. Il décida d'appeler a la maison et sa mère répondit :

« j'ai un jumeau? »

Elle raccrocha et sous la colère il lança le mobile dans le mur en face en rageant. Qui était ce mec bordel?!

Les yeux rivé sur les partitions, les flash de son rêve lui revenant en mémoire, Will se mit a trembler. Il sursauta en voyant Thomas partir subitement sans comprendre. Il resta la faisant face a la classe. Il partit subitement a son tour, chercher Thomas. Il appelait son nom dans le couloir, en marchant vite.

* Thomas! Thomas !

Il se mit a courir appelant toujours le nom du jeune blond, il trébucha et atterri a terre face au dreadé. Il se releva caressant son coude, se mit en face du blond et dis d'une voix faible.

* Qu'est ce qu'il se passe.. ?

Thomas allait partir quand il entendit quelqu'un le hélé, il se retourna et aperçu william qui le suivait. Lorsque le jeune homme arriva a sa hauteur il trébucha et tomba a ses pieds. Contrairement a beaucoup de monde, il aurait pu rire mais non. Il n'était pas d'humeur et il ne trouvait pas drôle le fait de voir son camarade et peut-être plus tomber, ce qui aurait pu lui faire mal.
Comment lui dire ce qu'il savait, peut-être était-ce faux ! En même temps, plus il regardait William, plus il avait l'impression de se regarder dans un miroir un peu déformant, mais tellement ressemblant tout de même. Il posa sa main sur le visage du jeune homme comme pour s'assurer qu'il était bien réel, qu'il n'y avait pas un masque ou quoi que ce soit, puis laissa sa main retomber mollement, et soupira en baissant les yeux.

« rien, il n'y a rien justement, il n'y a rien que je ne comprenne... s'il te plait William, je sais que je t'avais fais la promesse de ne plus te poser de question mais j'ai besoin de savoir... d'où viens-tu? Quand es-tu né? Qui sont tes parents? As-tu un frère? Ou une sœur ? » ajouta-t-il rapidement.

Il connaissait déjà la moitié des réponses mais il voulait l'entendre de la bouche du jeune homme. Et puis c'était surtout l'avant dernière question qui l'intéressait. Avait-il un frère?

Will' sentit un léger frisson le parcourir a la caresse du blond, il le regardait dans les yeux ne sachant par quelle réponse il devait commencer. Il prit une grand inspiration et commença.

* 1 septembre 1989 en allemagne.. je suis venu vivre ici après le décès de mes parents quand j'avais 8 ans.. A priori je n'ai pas de frere et soeur mais.. quand il sont mort, dans le porte feuille de ma mére jai trouver une photo de 2 bebe a la maternité..

L'androgyne baisse la tete et murmura.

* Tu.. tu croit que..

Etre assommé par des mots. Voilà, c'était tout a fait ca. La bouche entre-ouverte, le regard perdu et a la fois fixé sur William, Tom essayait de sortir de cet état végétatif sans y parvenir. Non, il ne pouvait pas découvrir qu'il avait un frère a 20 ans tout de même ! Pourquoi? Non William ne pouvait pas être de sa famille, ses parents a lui n'était pas mort. Ils habitaient encore en Allemagne, dans une maison tranquille avec un voisinage amicale. Non, ils n'étaient pas enterrés. William devait juste être un type qui lui ressemblait. Mais cette photo? Si sur cette photo il y avait sa mère et deux bébés ? Se pouvait-il qu'il soit ce deuxième enfants? Cela voudrait dire qu'il avait un frère et qu'il avait été adopter? 20 ans construit sur des mensonges, voilà pourquoi il n'avait jamais vu de photo de la femme qui l'avait élevé avec lui nourrisson, dans ses bras, comme toutes les nouvelles mères avaient. Son mari avait soit disant perdu la photo, mais personne ne perd ce genre de photo, la preuve la mère de William l'avait dans son porte monnaie. Il secoua un peu la tête , et recula contre le mur .

« je ne sais pas... je ne sais plus... tu … la photo...tu accepterais de me la montrer? Je voudrais la voir s'il te plait...si tu l'as... »

Il regarda william et n'arrivait pas a y croire. Se pouvait-il qu'ils soient réellement frères, et jumeaux? Ca expliquerait pourquoi après l'avoir vu il n'arrivait pas a l'oublier, pourquoi il avait toujours souffert de croire qu'il était fils unique, pourquoi ils se disputaient aussi bêtement, pourquoi parfois il avait eu l'impression de ressentir ses sentiments... le lien qui les unissaient avait été reconnecté a leur rencontre ici.

* Je oui.. je l'ai toujours sur moi a vrai dire..

Will sortit son portefeuille, l'ouvris et sortis la photo, il la tendis a Thomas la main tremblante, Thomas la prit, Will se mis contre le mur, se laissa glisser contre , recroquevillant ses jambes contre lui. Son cœur battais fortement, il n'arrivait plus a penser, est ce que ce qu'il vivait était réel ? Thomas était-il vraiment son frère, son jumeau, sa moitiés? représentait-il le manque qu'il avait toujours ressentis dans son cœur..

Tom saisit alors la photo que lui tendit William, craignant ce qu'il allait voir, redoutant la vérité. C'était comme saisir un mensonge de toute une vie. Il observa la photo et prit une longue inspiration. Ces bébés étaient jumeaux, c'était certain. Ce bébé a droite, c'était lui, il le savait. Ce bébé a gauche ne pouvait être que le jeune homme assis au sol. Tom l'imita, posant son dos contre le mur, assis en tailleur, a la différence du brun. Il fixa encore l'image, et la lui tendit. Il frappait doucement sa tête en arrière, sur le mur, un petit "bong...bong...bong" couvrant le silence régulièrement... Il était son frère? C'était impensable mais incontestable. Le silence de sa mère, enfin, adoptive, lui donnait raison. Il avait découvert la vérité... Il se souvint du nom de famille du jeune homme... Devan...Il s'appelait Thomas Devan? Il enviait tellement Will. Lui qui avait connu leur vrais parents. 8ans... Il aurait donné tout l'argent de son compte en banque, ce qui était franchement considérable, pour passer 10 minutes avec eux... Le seul moyen de les connaitre était alors le jeune homme a ses cotés. Il se sentait comme déjà proche de lui, mais loin aussi. Loin car 20 ans les avaient séparé, empêcher de vivre des choses ensemble, d'être là l'un pour l'autre. Il avait fallut 20 longues années pour les réunir... Il baissa la tête, pensant a tout ça, et mordit sa lèvre, sentant ses yeux s'humidifier légèrement.

« comment étaient-ils? Papa & maman? »

Il se doutait que pour William ce souvenir risquerait d'être douloureux, peut-être lui en voudrait-il même d'avoir oser remué ses souvenirs, alors il lui prit la main et le regarda. Ils étaient frères.

L'androgyne serra doucement la main de Thomas, en fixant leurs mains liées. Des larmes commençait a lui montées aux yeux, il détourna le regard , posa sa tête contre le mur, et fixa le plafond pour ne pas pleurer.

* Ma.. Maman, c'était une femme merveilleuse, douce, attentionnée, pleine de joie et de vie, un sourire resplendissant toujours collé aux lèvres. Elle ne travaillai pas, elle préférai rester a la maison s'occuper de moi et de la maison. Papa était pompier, et passionné de musique, il avait un petit groupe entre pote, c'est lui qu'a essayer de m'enseigner la guitare, chose ou je suis une nullité, Maman adorait dessiner, elle ma refiler son don d'ailleurs, des tout petit elle me faisait dessiner, elle m'a aussi appris le piano.. On était pas une famille de riche, juste un petite famille aux moyens modeste malgré tout on vivait bien et on était heureux. Papa avait une moto, il avait toujours rêver d'avoir un fils qui la chevaucherai cette moto.

Un faible sourire s'affichait sur le visage de Will quand il remémorait ses souvenirs.

* Ils avaient pas le droit de mourir.. J'aurai du partir avec eux..

Tom écoutait les souvenirs émouvant de William, le cœur pincé par la tristesse et nostalgie qu'il pouvait lire sur le visage de son jumeau. Quand il évoqua le sourire de leur mère, le dreadeux n'eut aucun mal a l'imaginer, il lui suffisait de se remémorer les fois ou le brun avait sourit, il était tel un soleil lorsque c'était le cas. Il écoutait avidement les souvenirs du jeune homme, et se mit a sourire légèrement lorsque celui-ci parla de la passion de son père, de leur père. Tom avait au moins un point commun avec cet homme qu'il aurait aimé connaitre. Son frère dégageait tant d'amour lorsqu'il parlait de sa mère, le blond se surprit presque a le jalouser, mais il n'avait pas le droit.
Quand William disait qu'ils n'auraient pas du mourir, Thomas partageait cet avis, ne serait-ce que pour comprendre pourquoi il n'avait pas été élevé avec son frère et ses parents biologique. Il lâcha la main de son jumeau lorsqu'il continua et le regarda presque sévèrement.

« dis pas ça William ! Ils ne méritaient pas de partir mais toi non plus... je suis sur que ça m'aurais tué, même si on ne se connaissait pas, je suis sur que je l'aurai ressentis. »

Peut-être était-ce parce qu'il ne connaissait pas ses parents qu'il pouvait se permettre un tel recul, mais au moins il l'avait. Il avait retrouvé son jumeau perdu depuis 20 ans, il refusait de l'entendre dire de tel chose. Puis se rappelant ce qu'il venait de lui dire sur la moto de leur père, il lui dit en le prenant dans ses bras.

« cette moto? Tu l'as? Tu pourrais la monter tu sais, on le fera les deux, ensemble. »

Il diminua son accolade pour observer son frère face a cette proposition.

William pensait réellement qu'il aurai du mourir depuis 12 ans qu'il aurait du mourir avec ses parents dans cet accident. Il n'avait plus de réel raison de vivre après se drame, il cachait son mal être sous ses sourires, ravageur soit-ils. Il espérait que Tom lui ferait retrouver l'envie de vivre..
William regarda son frère avec un air interrogateur.

* Oui enfin.. Elle est en Allemagne a la maison.. J'ai pas eu le courage de revendre la maison ni ce qui leur appartenait.. Tu serai mieux dessus que moi, tu devrai la monter toi.. Je.. Un week end on pourrait partir..

Il se resserra contre son frère, posant légèrement sa tête contre le torse de son frère. Il posa ses yeux sur une gourmette que Thomas avait a son poignet droit, il releva la manche de son t-shirt, la gourmette était la même, il posa sa main a coté de celle de son frère, regardant les 2 gourmettes. Puis il murmura doucement.

* Ils t'aimaient..

Thomas sembla déçu lorsque son frère lui annonça que l'engin était toujours en Allemagne. L'idée d'aller chez son jumeau, chez ses parents, ça lui plaisait autant qu'il détestait. Découvrir l'univers dans lequel il aurait du vivre, c'était vraiment effrayant...mais attirant à la fois. Et puis non. Il ne dit rien a la proposition du brun, restant dans ses bras en refusant cette idée, ces idées. Pourquoi irait-il la bas alors qu'eux l'avait viré de leur vie? Pourquoi monterait-il sur cette moto ? William avait bien dit que leur père aurait aimé que son fils la monte. Son fils. Pas ce gosse abandonné et adopter. Il n'avait aucun droit sur cet héritage laissé a will. Ce n'était pas l'héritage niveau argent qui était envisager là, mais plutôt tout ce qui était affectif. Il n'y avait pas droit, il n'était pas tant que ça leur fils après tout. On abandonne pas un gamin qui fait parti d'une famille, même si le duplicata existe. Ca lui fit bêtement penser a ce que ses parents avaient pu dire. Si c'était lui le premier " non on ne veut plus d'enfant" et ils l'abandonnèrent, mais quand son jumeau arriva " tiens on regrette on va le garder.." et puis si c'était lui le plus jeune " oh ben non, on a déjà William qu'est ce qu'on s'en moque de ce môme!"
Il serra les mâchoires et sorti de ses pensées en entendant son frère lui parler et lui montrer une gourmette identique a la sienne. Ils t'aimaient. Mais bien sur. Dans ce cas, il y avait 20 ans ca devait etre a la mode de laisser un enfant a une autre famille.
Fixant cette gourmette qu'il avait toujours garder sans savoir pourquoi, ses parents adoptif lui avait dit que ca venait d'eux. Perturbé par autant de mensonge en si peu d'année, il fut dégouter et ne voulu plus que sa peau soit en contact avec cette chose.
Il se releva brusquement.

« Ils m'aimaient... à d'autres ! Tu sais quoi? J'en veux plus ! »

A ces mot, il la détacha avant de la jeter à terre et de tirer dedans avec le pied, faisant glisser l'objet dans le couloir. Il tourna les talons et la boule au ventre, il s'engagea dans un autre couloir, décidé a retourner a sa cadillac et rentrer chez lui.